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Après l’expulsion d’Éden, raconte la Genèse, Adam et Ève engendrent une double descendance. Deux lignées aux antipodes se développent en parallèle dans l’humanité primitive. L’une aspire au bien, l’autre est marquée par le mal. La vie morale apparaît alors liée à la succession générationnelle. Comme si le bien et le mal étaient inscrits dans les gènes et transmis en s’amplifiant de père en fils. La lignée de Seth – le nouvel Abel[1]– aboutira à Noé, le père d’une humanité nouvelle ; Caïn engendrera un peuple d’une telle virulence meurtrière qu’il devra être rayé de la surface terrestre.

L’éradication d’une espèce

Dans l’humanité antédiluvienne, la vie morale semble amalgamée au développement physiologique. Ce qui ne laisse pas d’avoir un effet drastique sur la conscience. Derrière les réalités concrètes auxquelles les sens donnent accès, la conscience perçoit un monde radicalement contrasté. Tout est blanc ou noir. Il n’existe pas de zones grises spécifiquement humaines.

Un tel monde n’a pas le vent du devenir dans les voiles. Car il trahit l’intention créatrice. En créant l’univers visible, Dieu n’a pas voulu que s’y développe deux peuples, l’un bienveillant, l’autre malveillant. Il a voulu une seule humanité, certes en recherche comme à tâtons de sa voie vers l’épanouissement ; une humanité disposant de temps pour apprendre à aimer son prochain, au-delà des rivalités et des conflits dus à la matérialité.

Il était donc inévitable, laisse entendre la Genèse, que la première forme sociétaire de l’humanité ait été engloutie en raison de son extrémisme. Le “baptême” diluvien était nécessaire pour frayer le passage à une nouvelle naissance. Un monde tout en nuances, irisé de couleurs, en émergeait. L’arc-en-ciel, signe d’alliance entre ciel et terre, était assorti de la promesse divine de ne plus désormais recourir à l’extinction de l’espèce[2] (s’ouvre dans un nouvel onglet) »>[2] pour combattre un mauvais aiguillage de la fibre morale du genre humain (cf. Gn 9, 12-17).

Le mythe du déluge de la Genèse peut s’interpréter comme référant à l’extinction d’espèces préhistoriques antérieures à Homo sapiens.

Monde nouveau

Ici, la Genèse rejoint les données de la paléoanthropologie. Car l’éradication d’une humanité antédiluvienne peut s’interpréter comme référant à des races primitives éteintes. Avec Noé, une nouvelle espèce entre en scène et un nouvel ordre universel est inauguré. De nouvelles normes, à la fois physiques et morales, modifient le développement humain. Par exemple, végétarien à l’origine (1, 29)[3] l’homme devient omnivore.

Tout ce qui se meut et possède la vie vous servira de nourriture, je vous donne tout cela au même titre que la verdure des plantes. Seulement, vous ne mangerez pas la chair avec son âme, c’est-à-dire le sang » (9, 3-4).

La discrimination entre la chair et le sang constitue une avancée de la conscience par rapport l’animisme antédiluvien. Une percée de l’intelligence qui potentialise le discernement entre corps et âme, matière et vie, extériorité et intériorité, etc.

L’expansion conceptuelle est encore illustrée par le culte rendu au Créateur au sortir de l’Arche. Ce sont TOUS les êtres vivants (8, 20) qui sont offerts par Noé, comparativement aux sacrifices d’Abel, qui se limitaient aux bêtes domestiques. Le deuxième Adam rend hommage à l’essor vital universel et non plus seulement à ce que l’homme a intérêt à harnacher de la nature terrestre.

Ces images ne sont évidemment pas à prendre au pied de la lettre. On devrait plutôt y voir l’indication que le rédacteur biblique a su exposer, par le seul moyen du mythe à sa disposition, la connaissance aujourd’hui connue de l’évolution du genre humain. Quelque part, il y a plus de deux millénaires, un scribe juif, indéniablement inspiré par l’Esprit Saint, a eu accès à des connaissances que les sciences positives n’ont découvertes que tardivement, il y a moins de deux siècles. Il reconnaissait ainsi implicitement que l’humanité n’a pas été créée toute faite au départ et que le projet du Créateur dans l’espace terrestre embrasse tous les temps de l’Histoire.

Une énigme

Cette connaissance de l’évolution est encore fortement confirmée par les versets qui servent d’introduction au récit du déluge.

Lorsque les hommes commencèrent d’être nombreux sur la face de la terre et que des filles leur furent nés, les fils de Dieu trouvèrent que les filles des hommes leur convenaient et ils prirent pour femmes toutes celles qu’il leur plut. Yahvé dit : “Que mon esprit ne soit pas indéfiniment responsable de l’homme puisqu’il est chair ; sa vie ne sera que de cent vingt ans” Les Nephilim étaient sur la terre en ces jours-là (et aussi dans la suite), quand les fils de Dieu s’unirent aux filles des hommes et qu’elles leur donnèrent des enfants ; ce sont les héros du temps jadis, ces hommes fameux » (Gn 6, 1-4).

Le paragraphe arrive fortuitement à la suite des généalogies de la descendance d’Adam et Ève. Il ne semble pas non plus avoir de rapport logique avec ce qui suit. S’agirait-il d’un fragment de récit légendaire qu’un compilateur aurait inséré là arbitrairement ?

Quelles que soient les hypothèses que des exégètes pourraient avancer, il reste que ces intrigants versets apparaissent incongrus à plus d’un titre dans le contexte général du livre biblique. Le croyant sans formation spéciale mais soucieux de cohérence entre foi et raison, devra quand même chercher à décrypter leur signification dans le contexte de sa culture. Car sa foi en la Parole divine ne lui permet pas d’occulter l’extrait en question en le passant sous silence sous prétexte qu’il ne relèverait pas d’une intention identifiable du scribe et de l’Esprit Saint.

Le passage se termine sur une note admirative évoquant « les héros du temps jadis, ces hommes fameux » (6, 4). L’éloge précède tout juste le constat par Yahvé…

…que la méchanceté de l’homme était grande sur la terre et que son cœur ne formait que de mauvais desseins à longueur de journée. Yahvé se repentit d’avoir fait l’homme sur la terre et il s’affligea dans son cœur. Et Yahvé dit : “Je vais effacer de la surface du sol les hommes que j’ai créés – et avec les hommes, les bestiaux, les bestioles et les oiseaux – car je me repens de les avoir faits » (6, 5-7).

Humanité hybride

Lors de la création initiale de l’humanité, le Créateur aurait-il d’abord raté son objectif ? Sa première ébauche n’aurait pas donné le résultat escompté, semble-t-il. Yahvé s’en désole mais ne baisse pas les bras pour autant. Il remettra l’ouvrage sur le métier en misant sur les rescapés de l’Arche (cf. Gn 9).

Trêve de parodie, il reste que le “repentir” de Dieu est bien étrange ! Mais ici, il s’agit plutôt de justifier la présentation dithyrambique d’une race soi-disant héroïque, pourtant si méchante que Yahvé décide de détruire toute vie sur la terre à cause d’elle ! L’éloge de la méchanceté, cela ne fait pas très sainte écriture, n’est-ce pas ?

D’autre part, comment concevoir cette espèce appelée à disparaître? Elle serait le fruit de l’union des fils de Dieu aux filles des hommes, est-il précisé. Mais qui sont ces fils de Dieu ? Est-il pensable que des êtres purement spirituels aient pu avoir des relations charnelles avec l’espèce humaine ? Si c’était le cas, ce ne seraient pas les anges mais les démons qui auraient initialisé de tels rapports occultes, que la Bible condamne d’ailleurs sans équivoque. De plus, ces unions sexuelles n’auraient pas pu engendrer une progéniture. Or, le passage souligne qu’elles donnèrent des enfants.

Concordance

Force nous est donc de conclure que les fils de Dieu sont des créatures en chair et en os mais d’une espèce distincte, génétiquement compatible à l’humanité archaïque. Les fils de Dieu et la race de géants (Nephilim) qu’ils auraient engendrés en s’unissant aux humaines pourraient donc représenter un lointain souvenir d’espèces morphologiquement antérieures à la nôtre, l’écho légendaire d’hominidés ancestraux. Bien que j’évite habituellement de recourir à une approche concordiste entre les textes bibliques et les données scientifiques, exceptionnellement, j’estime intéressante l’hypothèse qu’Homo erectus ou Homo neanderthalensis pourraient possiblement correspondre au portrait biblique des fils de Dieu.

Ces espèces  étaient en effet plus robustes qu’Homo sapiens. Selon les données archéologiques, deux espèces ont pu se côtoyer pendant plusieurs dizaines de milliers d’années et se croiser[4]. L’ossature et la supériorité musculaire des espèces plus anciennes expliquerait que des spécimens auraient pu prendre pour femmes toutes celles qu’il leur plut sans être inquiétés par les mâles de l’espèce cérébralement plus évoluée mais physiquement plus faible.

D’après la Genèse, ce métissage n’avait pas l’aval du Créateur puisqu’il a été contraint d’intervenir pour y mettre fin. De plus, des traces sur les ossements fossilisés de ces espèces éteintes semblent indiquer du cannibalisme, une dérogation aux lois de la vie ayant pu entraîner leur extinction d’une manière ou d’une autre.

Des “fils de Dieu” ?

Il resterait à expliquer le nom de fils de Dieu affublé à ces présumées espèces préhistoriques. La réponse à cette question est suggérée par la réflexion du Créateur faisant suite aux croisements hybrides : « Que mon esprit ne soit pas indéfiniment responsable de l’homme puisqu’il est chair ». Le Créateur attribue à son Esprit la responsabilité comportementale des races archaïques. Étonnant, non ? La chair – c’est-à-dire la composante corporelle – justifie la prise en charge.

Cette condition implique en somme que le comportement de ces espèces primitives était dominé par les impulsions instinctuelles. En elles, l’esprit n’était pas encore suffisamment incarné pour déterminer librement la démarche. Car l’infusion de l’âme spirituelle dans un corps animal – qu’implique la création initiale de l’être humain – ne donne pas d’emblée la pleine stature humaine. Comme l’enfant avant d’atteindre l’âge de raison, l’humanité du début pouvait ne pas être tenue responsable de ses actes. De longs et ardus développements évolutifs étaient nécessaires pour asseoir la liberté morale sur la base du raisonnement et de la délibération.

Le siège physique de cette évolution se situe clairement au niveau du cerveau, l’organe interface entre l’esprit et la matière du corps. Il s’ensuit que l’énergie vitale, chez les espèces d’Homos antérieurs à Sapiens, dynamisait le développement des circonvolutions cérébrales pour intégrer génétiquement l’esprit dans la chair. Les spécimens en étaient si intensément stimulés que leur conscience percevait des esprits dominateurs, cachés derrière tout ce qui tombait sous les sens. La vision spirituelle et désincarnée de la réalité qui en découlait expliquerait l’appellation de fils de Dieu.

Cette étape de la perception animiste du monde extérieur était toutefois transitoire. L’adverbe indéfiniment de la réflexion divine indique que la transformation morphologique préparatoire au prochain stage d’évolution vers la liberté responsable était parvenue à terme.

La nouvelle étape se manifestera comme un ralentissement du travail cérébral pour permettre l’intégration des émotions et de la volonté à la lecture du réel. La Bible signale cette descente de la conscience de la tête à la poitrine par l’utilisation du mot cœur à deux reprises dans le paragraphe cité. D’abord pour dire la méchanceté de l’homme dont le cœur ne formait que de mauvais desseins à longueur de journée. Ensuite pour évoquer le “repentir” de Yahvé qui s’affligea dans son cœur. Cette redondance terminologique n’est pas due au hasard. Elle désigne l’organe de l’amour comme principe d’intelligence de la réalité. Car c’est par tout son cœur que l’homme parvient à connaître et aimer Dieu. Et c’est en y mettant tout son cœur qu’il peut assumer sa mission avec sagesse dans l’univers. 

Le temps et la durée

Cette cruciale étape du développement de l’humanité est décrite dans le premier passage en question comme une altération de la durée de la vie humaine : « sa vie ne sera que de cent vingt ans ». Qu’est-ce à dire ? On pourra comprendre le sens de cette réduction d’âge en faisant appel à une distinction, développée dans mon ouvrage L’évolution de l’Alpha à l’Oméga, entre le temps et la durée[5].

Pour le dire en bref, le temps se mesure sur la base des rotations de la Terre autour du soleil. Ce critère est arbitraire. Sur une autre planète en rotation autour de son étoile, les années, les jours et les nuits seraient différents. L’écoulement du temps est donc perçu en lien avec la trajectoire de la matière dans l’espace. De plus, le flux continu du temps qui passe est expérimenté par la conscience comme étant mathématiquement illimité, infini de nature.

Tandis que la durée délimite le commencement et la fin d’une chose. Ce concept concerne donc principalement le développement des organismes vivants et est intimement lié aux cycles de la vie. La graine mise en terre devient tige, se subdivise en branches, devient arbre qui fleurit, produit des fruits portant semence, puis décline et meurt. La valeur temporelle d’une durée diffère d’une structure vivante à l’autre et implique la terminaison de la réalité. Par exemple, la durée d’une personne humaine ne peut se traduire en valeur de temps qu’après la mort.

Le temps est objectif, la durée est subjective. La différence entre ces deux termes se résume par l’aphorisme suivant : le temps est à la matière extérieure ce que la durée est à la vie intérieure. Le critère d’évaluation de la durée touche à l’intensité du fluide vital des organismes. La comparaison entre la perception du temps chez une personne âgée et celle de l’enfant démontre que l’expérience de la durée est relative à la croissance évolutive de la substance vivante. Chez le vieillard, l’énergie vitale est ralentie par l’usure des composantes biologiques de l’organisme. Le temps est alors perçu subjectivement comme passant à une rapidité effarante. Chez l’enfant, c’est le contraire. Le temps semble s’écouler avec une lenteur infinie parce que le fluide vital anime les cellules d’un corps fraichement organisé.

Patriarches millénaires

La distinction entre temps et durée est on ne peut plus utile pour une juste interprétation de la Genèse. Entre autres, elle permet d’expliquer l’âge invraisemblable des patriarches antédiluviens. Car ce que l’auteur biblique exprime par le mythe d’une longévité millénaire devrait être interprété en termes d’intensité du labeur la substance vivante. Dans la foulée du développement cérébral des espèces primitives, le temps avait alors une valeur subjective décuplée. Comme celle du fœtus dont les neuf mois d’intense croissance dans le sein maternel équivalent à 90 ans de vie après la naissance[6].

Le rapprochement entre la vie fœtale et une présumée “gestation” de l’humanité n’est pas qu’une simple analogie. Dans la communauté comme dans la personne, la substance vivante est partout pareille à elle-même et se développe selon un même schème de croissance.  Une même structure organique – sous-jacente aussi bien aux micros qu’aux macros réalités vivantes – doit d’abord être tissée invisiblement dans le secret d’un utérus pour préparer la naissance d’une nouvelle réalité vivante.

Dans mon ouvrage cité, j’ai identifié trois stages de gestation ayant précédé la “naissance” du “géant humain”. Deux autres stages utérins suivront l’ère cérébrale qui nous occupe : l’ère cordiale et l’ère sensorielle. Le déluge rapporté par la Genèse marque la fin de l’ère cérébrale et le début l’ère cordiale. Le changement de paradigme a pour effet de réduire la durée humaine à 120 ans, estime la Bible.

À noter que cette limite n’est pas immédiatement effective après le déluge. La durée millénaire se poursuit mais décline rapidement dans les généalogies en même temps que l’âge d’engendrement (cf. 11, 10-32). Noé meurt à 950 ans. La durée de vie de son fils Sem est réduite à 500 ans (11, 11). Térah, vit 205 ans, son fils Abraham, 175 ans. Enfin, Moïse s’éteint exactement à 120 ans.

De toute évidence, cette déclinaison relève du mythe et non de l’Histoire. Ce qui ne veut pas dire qu’elle soit sans signification. La durée de vie de Moïse, qui coïncide à la limite d’âge prescrite avant le déluge, marque l’achèvement de l’ère cordiale ; elle indique encore qu’une nouvelle descente dans la chair de la composante spirituelle de l’humanité s’amorce. La loi mosaïque incarnera l’ordre de l’esprit au niveau des sens [7].

Au cours de l’ère sensorielle, la durée humaine sera réduite enfin au chiffre réaliste avancé par le psalmiste. « Le temps de nos années, quelque soixante-dix ans, quatre-vingts, si la vigueur y est » (Ps 89, 10). Cette exactitude signifie que l’incarnation de l’esprit dans la structure humaine était complétée à l’époque de l’auteur et que le temps de la naissance était proche.

Et effectivement, l’humanité naîtra en toute vérité en expérimentant le traumatisme de la Croix. L’événement historique de la mort et la résurrection de Jésus constitue en effet une  naissance à la vie divine, visée dès l’origine par le Créateur de l’humanité.

Mais ici s’achève notre recherche du sens véritable des deux récits de la création de la Genèse. Rendons grâce à Dieu pour ces mythes porteurs de sa Parole pour les siècles.

Prochain et dernier article : Conclusion


[1] « Adam connut sa femme ; elle enfanta un fils et lui donna le nom de Seth, car, dit-elle, “Dieu m’a accordé une autre descendance à la place d’Abel, puisque Caïn l’a tué” » (Gn 4, 25).

[2] Dans le monde sous humain du règne animal, des espèces s’éteignent à la suite de bouleversements environnementaux auxquels elles ne parviennent pas à s’adapter. L’exigence d’adaptation, définie dans mon ouvrage L’évolution de l’Alpha à l’Oméga (https://www.ac3m.org/?page_id=6174) comme l’un des deux axes régissant le développement de la substance vivante, a pu jouer un rôle dans l’extinction d’espèces humaines primitives (ex. : Homo habilis, Homo erectus) antérieures à l’humanité actuelle (Homo sapiens). Au niveau humain, toutefois, l’adaptation horizontale (terrestre) comporte, en raison de la liberté humaine, une forte incidence morale en lien avec la croissance qualitative de la VIE dans l’axe du dépassement vertical (céleste).

[3] La paléoanthropologie confirme que les premiers hominidés, comme l’australopithèque, étaient principalement végétariens.

[4] La génétique a identifié, dans le génome de populations actuelles non africaines, un pourcentage de gènes (2 à 4 %) provenant de l’homme de Néandertal.

[5] Pour un développement des notions de temps et de durée, sommairement exposés ici, voir les 37e et 42e entretiens, intitulés respectivement La structure humaine et L’ère cérébrale, de mon ouvrage, disponible en formats papier et numérique à https://www.ac3m.org/?page_id=6174

[6] L’exactitude de cette assertion est démontrée dans mon ouvrage L’évolution de l’Alpha à l’Oméga. Voir les entretiens cités ci-dessus.

[7] L’analyse, même sommaire de cette troisième étape de croissance déborderait considérablement le cadre de la présente démarche. Pour un développement de ce sujet, voir le 45e entretien intitulé L’ère sensorielle de mon ouvrage L’évolution de l’Alpha à l’Oméga.

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